10 mars 2007
CONTREVERS A REVENANT
CONTREVERS A REVENANT
Au soleil d'un été qui n'en finirait pas
Au vent je laisserai s'éparpiller ma tête au
Soleil iront pourrir mes dents car je mourrai sûr
D'un coup de tranchant d'air je mourrai dans le bleu d'un
Eté tout bourdonnant de mouches très politiques
Qui rappellent que le diable n'est jamais très loin
N'en prenez votre parti que si vous m'aimiez Il
Finirait le temps des soucis mais ne vous en faites
Pas je sais fort bien que je reviendrai vous hanter.
Patrice Houzeau
Hondeghem, le 10 mars 2007
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