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15 juillet 2008

EN LISANT ADELE

EN LISANT ADELE Ouvrant l'album des "Aventures Extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec" de Tardi, dont la paronomase du titre l'amuse (Adèle et la Bête / La Belle et la Bête), voilà qu'il y a ce bleu de Prusse sur Paris et sur les carcasses antédiluviennes...
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15 juillet 2008

SPECTRAL

SPECTRAL C'est une nuit bleu d'énigme sur la villeQui étire architectures et perspectivesDans un lointain de pelouses et de grillesA travers des squelettes habillés de chair. Patrice HouzeauHondeghem, le 15 juillet 2008
13 juillet 2008

"COMME LA FOUDRE"

"COMME LA FOUDRE" « A dix mètres, la jument obliqua franchement vers la gauche, venant sur lui comme la foudre. » (Georges Bernanos, Monsieur Ouine, Presses Pocket, p.107) Franchement , c’est l’adverbe dans Cette phrase de Bernanos pour cet Oblique ce...
11 juillet 2008

NUIT

NUIT La nuit : l’absence de lumière ; le non-lieu de la lumière ; en est-elle absolument absente ? Elle peut y être tolérée, et même désirée (cf « une lueur dans la nuit »). La nuit sans lumière aucune est appelée « nuit noire ». « La nuit qu’il entretient...
10 juillet 2008

DE LA PROFONDE ORIGINALITE DES ÊTRES

DE LA PROFONDE ORIGINALITE DES ETRES Redoutant le pire dans le genre prêt-à-penser consensuel, je m'étais jusqu'ici abstenu de me pencher sur philosophie magazine. J'avais tort. Considérant que la synchronie textuelle restait supérieure à la diachronie...
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9 juillet 2008

A SA BIEN-AIMEE

A SA BIEN-AIMEE « Margareta, ma bien-aimée, or donc voici Ton crâne. Quel poli! l’on dirait de l’ivoire. (Je le savonne assez, chaque jour, Dieu merci, Et me permets d’ailleurs fort rarement d’y boire.) Te voilà!... Dans ces deux trous, deux beaux yeux...
8 juillet 2008

SUR UN POEME D'ELISE A

SUR UN POEME D’ELISE A (Impression au soleil levant) « L’or des pailles s’effondre au vol siffleur des faux » (Paul Verlaine ) L’or du lever à la berge envole les ailes Des zoziaux cris et accroche des ondes or Pailles jetées en ligne l’hameçon flou il...
8 juillet 2008

DE LA CHANSON DES MORTS (2)

DE LA CHANSON DES MORTS (2) ".. Quand je vis tout à coup, légion vagabonde, Se prendre par la main des squelettes glacés. On commence, et tandis que tournoyait leur ronde Ils glapissent en choeur l'hymne des trépassés" (Jules Laforgue, La Chanson des...
8 juillet 2008

ENORME

ENORME « Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant » (Guillaume Apollinaire, Le Voyageur, Alcools, 1913) Dans le temps ancien des poètes Avant que tout à fait l’on s’enRende compte que l’humain i n’aPas d’autre ambition que l’abusDes autres à l’anéantir...
7 juillet 2008

MIROIR

MIROIR Voici le lieu de tous les êtresSans mémoire le miroir pratiqueUne telle discrétion domestique Patrice HouzeauHondeghem, le 7 juillet 2008
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