1 février 2008
DE CE TERRIBLE
DE CE TERRIBLE « De ce terrible paysage, Tel que jamais mortel n’en vit » (Baudelaire, Rêve parisien) De ces jours que je vis, moi ! Les autres me rappellent à eux. Ce besoin toujours qu’ils ont qu’on soit avec eux, bizarre, tout de même… Terrible, terrible...