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BLOG LITTERAIRE
31 janvier 2007

VERS UNE REPUBLIQUE D'INSTITUTEURS ?

VERS UNE REPUBLIQUE D'INSTITUTEURS ?

Chacun de nos actes procède d'une généalogie. Et donc d'une temporalité. Et c'est dans cette temporalité, cette somme, que se tient le fantôme de notre liberté.
D'où la tendance que j'ai à répugner à toute contrainte.
D'où le fait que tout acte libre abolit cette généalogie en même temps qu'il la regénère.
D'où l'indifférence de plus en plus patente à la politique qui n'est jamais qu'une manière d'organiser les contraintes (les nécessaires restrictions des libertés individuelles) au profit de l'intérêt général.
Mais ce fameux intérêt général n'est souvent que le nom d'un intérêt communautariste (la technocratie, par exemple) qui, en même temps qu'il ignore la parole de quelques uns au motif qu'ils ne seraient pas représentatifs de l'opinion publique ou des progrés de l'éthique (l'inscription dans la constitution de l'interdiction de la peine de mort est ainsi parfaitement contraire à l'état réel des idées de l'opinion publique), ne cesse de se donner en spectacle et de se réclamer du plus grand nombre, qu'en fait il méprise et ne peut que sacrifier sur l'autel de ses propres intérêts.
D'où le fait que je ne puis être socialiste puisque, par définition, le parti socialiste est le parfait exemple de cette spectaculaire hypocrisie des puissants envers l'opinion publique.
D'où le fait que je me méfie de la droite qui est formidable quand elle raisonne en termes de communautés et qui est catastrophique quand elle raisonne en termes de morale républicaine et ne cesse, au nom de cette morale républicaine, de multiplier les contraintes (interdiction de fumer dans son propre bureau, chasse aux sans-papiers, interdiction des distributeurs de sucreries dans les établissements scolaires,...).
Vous verrez que la France va finir par ressembler à un immense Lycée et que chaque citoyen se verra attribuer un carnet de correspondance dans lequel nos chers élus noteront blames et avertissements, amendes, retenues sur salaire et contrôles fiscaux.

Patrice Houzeau
Hondeghem, le 30 janvier 2007

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Commentaires
O
Pourquoi s'étonner qu'une institution finisse par être productrice d'instituteurs et vice-versa? La politique a changé: on ne règne plus, on ne régit plus. ET le gouvernement démocatique est fondé sur des nstitutions. L'instituteur en est l'élément actif, même si ce mot est maintennt résevé à des enseignants. Cependant l'idée de "député instituteur " éclairant le peuple, décidant d'un politique d'instruction publique (et non, à une certaine époque d' "éduction nationale", sacrée nuance)allait ave celel du "soldat l bureur" apportant la "civilisation", d'abord par les armes puis par l'agriculture... <br /> Ceci dans l'idée post-romaine et mérovingienne de l'Etat,au temps des uifications.. brutale; Rome avait envoyé des soldats,puis des gestionnaires et des instituteurs. LE système a tellement bien marché que les viqueurs adoptèrent même la langue des vaincus: le français est une langue romane acec un nom germanique. ET le droit romain fut adopté (auf daq la fmille, puisque le droit des feems était différent, plus déteminé d'un point de vu patrimonial! LE mot "bru" est le seul nom germanique demeurant dns l'ensembel des désignations des membres de la famille! C'est à cuse de la puissnce relative de la belle-fille en droit germain).<br /> MAis il a fallu enseigner ce nouveau mode de vie et l'instituteur célébrant l'institution fut lié à l'école, laquele, ave sa réorganistoin par Charlemagne devint un vecteur, entre autres du message institutionnel solidement ancré sur une nostalgi de Rome qui fut la source de la "renaissance crolingienne"... <br /> LE préfer, le maîte d'école etc étaient les "instituteurs succédant au solda devenant laboureur. De nouvelles techniques agricoles prient place avec le renouveau administraitif et culturel. <br /> La troisième république essaya de rejoue ce jeu avec les colonies. Et là aussi, il y eut el mystère de la langue: LEs Africins, Senghor adoptèrent la langue française dans les états africains, comme les gens du Maghreb et la quaifièrent de "trésoe de guerre".<br /> Soldat laboureur et maître d'école: emblèmes institutionnels!
O
Il arrive souvent, dans les démocraties, que tout progresse contre l'opinion publique! C'est suvent heureux parce qu'on ne peut pas toujours dire que le peuple connaisse ses propres intérêts.Ceci avec, souvent,une propension cuieuse à aller contre! Ce qui dément un peu l'idée qu'on a les députés qu'on mérite! Les hommes politiques, tout puoris qu'il peuvent l'être, ne le sont jamais autant que la foule, cette excroissance puullente du peuple.<br /> Tant que la ménagère n'apprendra pas à gouverner l'Etat, que le guichetier ne lira pas "La Princesse de Clèves" tout en étatn aufait des récents pogrès en mathémtiques fondamentale rien ne pourra aller... <br /> Mais on a la Star Ac!
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