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BLOG LITTERAIRE
20 décembre 2015

QUELQUES REPLIQUES POUR TRETEAUX FANTOCHES

QUELQUES REPLIQUES POUR TRETEAUX FANTOCHES 1. Des fois je m'enquiquine la caverne ; je sors pas ; je mélancolise d'envergure ; je me ronge le temps. 2. Les bipèdes parfois, ils ne déclenchent l'enfer que pour finir à confesse. 3. Se mettre à flûte et...
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13 décembre 2015

PRENDRE SA VACHE POUR UN TRAIN ET AUTRES LOCUTIONS

PRENDRE SA VACHE POUR UN TRAIN ET AUTRES LOCUTIONS 1. Ecouter son parapluie : se montrer prudent. 2. Avoir le nez bourré de pépites d'art et découvrir la belle revenante qui fréquente les ruines. 3. Blitzer dans la s'moule : agir de façon spectaculaire...
7 avril 2013

LAISSER INFUSER LE TEMPS

LAISSER INFUSER LE TEMPS En feuilletant le très beau "Balades en jazz", d'Alain Gerber (folio senso, folio n°4504, inédit, 2007). 1. "l'ironie de l'histoire" : que l'Histoire soit ironique n'est pas si étonnant, quand on songe à tout ce qu'elle sait et...
5 décembre 2012

GOGNE GÔGNE GAUGNE GOGNER GOGNEU

GOGNE, GÔGNE, GAUGNE, GOGNER, GOGNEU Dans l'article Le réel, c'est d'la langue consacré au roman "A prendre ou à lécher" de l'inestimable San-Antonio / Frédéric Dard, je citai la phrase suivante : "Et le fait que tu aies failli prendre le chuteur sur...
24 septembre 2012

DIRE TANT PIS POUR TEMPS PIS

DIRE TANT PIS POUR TEMPS PIS 1. "vouloir s'assembler aux confins" (André Doms): rêver d'impossibles ailleurs. Citations : "J'avance, enrobé d'âges, comme pour m'assembler aux confins." (André Doms, Voyeur voyageur, "Les bustes 2", Le Taillis Pré, Belgique,...
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13 mai 2012

DIRE QU'ALORS Y FAIRE

DIRE QU'ALORS Y FAIRE "On dit qu'alors, tandis qu'immobiles comme elles Veillaient stupidement les mornes sentinelles, Les trois têtes soudain parlèrent ; et leurs voix Ressemblaient à ces chants qu'on entend dans les rêves, Aux bruits confus du flot...
13 mai 2012

Y A PAS ! FAUT QU'ELLE LES TUE !

Y A PAS FAUT QU'ELLE LES TUE "Cela ne vous déplaît pas, monsieur Robert Darzac, que je découvre l'assassin ? - Ah ! je voudrais le tuer de ma main ! s'écria le fancé de Mlle Stangerson avec un élan qui me stupéfia." (Gaston Leroux, Le Mystère de la chambre...
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